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O.C.I.C. Organisation Citoyenne d'Information contre la Corruption.

Conférence liste antisioniste du 01/06/09 Cotten parlant des Vaccins poisons

Pierre
                                 SILENCE ! ON VACCINE !

 


Devrions-nous tirer des leçons des erreurs du passé ou répéter bêtement, aveuglément et inlassablement les mêmes erreurs?
Vaccin grippe porcine DANGER! Reportage.


Le rapport entre la maladie d'alzheimer et l'aluminium contenu dans les vaccins, le Dr Chris Shaw, neurologue de l'université de Colombie-Britannique vous le présente.

 

ALUMINIUM & MALADIE D’ALZHEIMER


La maladie d'Alzheimer persiste à figurer en première ligne dans l'actualité médicale car notre

président de la République a manifesté son désir de la combattre. II a parfaitement raison car

cette terrible maladie est devenue de plus en plus fréquente et, surtout, elle touche des sujets

de plus en plus jeunes. Mais a-t-il raison dans sa manière d'affronter ce combat ? Ainsi,

depuis quelques mois, nous avons pu entendre plusieurs spécialistes qui nous ont expliqué qu'on

pouvait retarder l'aggravation de la maladie mais non la guérir. Evidemment, on compte beaucoup

sur la générosité des Français pour « aider la recherche », qui cherche peut-être, mais découvre

rarement les vraies causes de nos maux. Sans doute ne cherche-t-elle pas là où il le faudrait.

Comme pour la plupart des maladies actuelles, l'origine officielle est évidemment « génétique ».

Aussi, la recherche génétique a de beaux jours devant elle, tout comme les nombreux pollueurs de

la santé publique qu'on ne cherche ni à désigner ni à neutraliser.

Personne ne parle de prévention à ce sujet, à part le diagnostic précoce, mais à quoi sert de

diagnostiquer si l'on n'est pas capable de soigner ? Personne, non plus, n'ose évoquer l'influence des

produits chimiques, particulièrement les pesticides, dans cette maladie. Les pesticides sont des

substances cancérigènes qui occasionnent également des problèmes neurologiques, cognitifs et

neuro-dégénératifs. Chez ceux qui sont exposés professionnellement aux pesticides, le risque de

maladie de Parkinson est multiplié par 5,6 et d'Alzheimer par 2,3. Personne n'y fait allusion.

On ne parle pas davantage de l'aluminium. Or, après quarante ans d'études contradictoires,

l'aluminium paraît être indéniablement impliqué dans la maladie d'Alzheimer. II pénètre les

tissus en se combinant avec la ferritine du sang, en lieu et place du fer. N'étant pas éliminé par

les reins, il se concentre et imprègne progressivement le squelette et le système nerveux. On a

retrouvé une quantité plus importante d'aluminium dans des cerveaux humains atteints par la

maladie d'Alzheimer que dans des cerveaux sains. Certains cerveaux malades présenteraient de

10 à 30 fois plus d'aluminium que la normale.

Soupçonnée pendant de nombreuses années, la toxicité de l'aluminium est officiellement

reconnue depuis 1999, autant par l'Agence française de sécurité sanitaire que par l'OMS, sans

que cela ait changé quoi que ce soit à la politique de santé.

On persiste à traiter l'eau potable avec du sulfate d'aluminium afin d'éliminer les microorganismes.

Le sel blanc de table et la farine blanche sont traités au silicate d'aluminium. On

trouve du phosphate et du silicate d'aluminium en tant que colorant, anticoagulant, et émulsifiant

dans une quantité de produits laitiers : lait en poudre, lait maternisé industriel, lait de soja,

fromages fondus...

On en trouve également dans nombre de médicaments, dont l'aspirine, les antiacides, utilisés dans

le traitement des aigreurs, brûlures d'estomac et remontées acides, le Maalox et bien d'autres, ainsi

que dans certains additifs alimentaires. Les produits cosmétiques classiques, crèmes pour la peau,

fond de teint, déodorants sans alcool, antitranspirants, et même certaines pâtes dentifrices

contiennent de l'aluminium.

Ajoutons à cette liste des ustensiles de cuisine, non seulement des casseroles et récipients de

cuisson, mais aussi des barquettes, assiettes, papier d'emballage...


La responsabilité des vaccins

L 'addition de tout l'aluminium contenu dans ces produits pèse déjà très lourd sur notre état de

santé, mais on ajoute de l'aluminium dans un grand nombre de vaccins sous forme d'hydroxyde

d'aluminium, car cet adjuvant augmente et prolonge la réponse immunitaire aux antigènes

inoculés. Alors que les normes européennes fixent son seuil à 15 pg par litre, à cause de risques

d'effets secondaires graves, l'hydroxyde d'aluminium est retrouvé à des doses nettement supérieures

dans les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche, l'hépatite A, l'hépatite B, la

fièvre jaune, ou la fièvre aphteuse notamment (de l'ordre de 650 ug à 1250 ug par dose).

Pendant
longtemps, la dose d'hydroxyde d'aluminium présente dans chaque vaccin Engérix ou GenHevac

n'était « pas supérieure » à 1250 ug.

Depuis quelques années, sans donner d'explications mais non sans raison, les laboratoires ont jugé

nécessaire de réduire sa teneur à moins de 650 ug par dose.

Le lien de cause à effet en relation avec les vaccins faisant

appel à l'hydroxyde d'aluminium a été reproduit

expérimentalement chez le rat. Ce lien irréfutable a été reconnu

par les agences de sécurité sanitaire françaises et américaines,

ainsi que par la « Branche vaccin » de l'OMS.

II y a plus de vingt ans, alors que l'on connaissait déjà la

toxicité de l'aluminium, les chercheurs de Pasteur-Mérieux

avaient mis au point un adjuvant à base de phosphate de

calcium. Mais, lorsque Mérieux racheta Pasteur-Vaccins, les

vaccins à base de phosphate de calcium furent mis aux

oubliettes. II est permis de se demander pourquoi, étant donné la toxicité de ce produit qui fait

craindre l'émergence de maladies comparables à celles qui sont observées chez les animaux

domestiques avec un pronostic plus sombre. Aussi, l'aluminium aurait dû être définitivement banni

de tous les vaccins depuis longtemps, en vertu du principe non seulement de précaution mais

d'urgence. Une interdiction occasionnerait des millions d'euros de pertes pour les grandes firmes

pharmaceutiques obligées de trouver un nouvel adjuvant.

Les laboratoires persistent à affirmer l'innocuité de l'hydroxyde d'aluminium, alors qu'ils avouent

qu'aucune étude au long cours de non-toxicité ni de pharmacovigilance n'a été réalisée concernant cet

adjuvant. Pourtant, en 1987, la FDA publiait: « L'aluminium est une véritable toxine qui ne doit

jamais être injectée à l'homme sans raison valable. » Les vaccins contre des maladies aléatoires

seraient-ils des « raisons valables » ?

A son tour, l'OMS signalait dans son relevé épidémiologique du 16 juillet 2004: « Les questions

concernant l'innocuité exigeront une connaissance approfondie des effets des adjuvants sur la

réponse immunitaire et les mécanismes associés. La réglementation actuelle devra tenir compte des

données scientifiques nouvelles concernant les adjuvants. L'innocuité des adjuvants est un domaine

important et négligé. Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques,

susceptibles de modifier l'immunogénicité et la sécurité des vaccins, l'évaluation de leur innocuité est

indispensable. » Cette déclaration n'a, évidemment, pas eu de suites.

Bien que le mercure ait été officiellement banni des vaccins en France à cause de sa toxicité, l'Engerix

B renferme toujours une infime quantité de thimérosal, en raison de son procédé de fabrication, et il

est notoire que même les quantités infimes gardent toujours une certaine nocivité. En outre, ce

produit a été utilisé pendant des décennies et il est évident que ses effets à long terme se feront sentir

pendant encore longtemps.

Le Dr Russell Blaylock, qui a vingt-six ans d'expérience en neurochirurgie, s'est penché sur les

dangers de l'aluminium, particulièrement sur sa neurotoxicité, mais aussi sur son potentiel

antagoniste lorsqu'il est administré avec le mercure. « En fait, nous savons que l'aluminium est une

neurotoxine dangereuse qui partage avec le mercure des mécanismes classiques. Ainsi, tous deux

sont toxiques pour les neurotubules, interfèrent avec les enzymes antioxydantes et la fonction de la

membrane neuronale, empoisonnent les enzymes de réparation de l'ADN, interfèrent avec la

production de mitochondries. » Le Dr Blaylock considère le mercure comme un poison qui neutralise

dans les cellules les enzymes destinées à arrêter les radicaux libres.

Les recherches menées par le Dr Chris Shaw, neurologue de l'université de Colombie-Britannique à

Vancouver, et non publiées à ce jour, établissent un lien entre l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans

les vaccins et la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, et la sclérose latérale amyotrophique

(ou maladie de Charcot).

Shaw est très surpris que ce type de recherches n'ait pas été mené auparavant alors que les

médecins injectent à leurs patients de l'hydroxyde d'aluminium comme adjuvant stimulant la

réponse immunitaire depuis quatre-vingts ans. « C'est suspect, déclare Chris Shaw. Soit ce lien est

connu de l'industrie et n'a jamais été rendu public, soit l'industrie n'a jamais été obligée par le

ministère canadien de la Santé de faire ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus

effrayante. »



(Plusieurs vaccins couramment

utilisés en France, comme ceux

contre la diphtérie, tétanos,

polio, ou facultatifs comme

ceux contre les hépatites A et B,

font appel à l’aluminium sous

forme de phosphate, sulfate ou

encore d’hydroxyde à des doses

de 50 à 80 fois supérieures aux

doses admises par les instances

européennes (15ug/l).)

 


Afin d'éprouver sa théorie, Shaw et son équipe composée de quatre scientifiques des

universités de Colombie-Britannique et de Louisiane ont injecté à des souris le vaccin de l'anthrax

développé pour la première guerre du Golfe.
Comme l'a expliqué Shaw, étant donné que le syndrome

de la guerre du Golfe ressemble beaucoup à la sclérose latérale amyotrophique, les chercheurs

tenaient là l'occasion d'isoler une cause possible. Tous les soldats mobilisés ont été vaccinés avec un

composé d'hydroxyde d'aluminium. Selon Shaw, ceux qui n'ont pas été envoyés dans le Golfe ont

développé des symptômes semblables à un taux analogue. Les mêmes adjuvants sont utilisés dans les

vaccins contre l'hépatite A et B ainsi que dans le cocktail pentavalent contre la diphtérie, la

coqueluche, le tétanos, la polio et une sorte de méningite.

Après vingt semaines d'études sur les souris, l'équipe a mis en évidence des augmentations

importantes d'anxiété, d'allergies de la peau, mais surtout des déficits de mémoire (41 fois plus

d'erreurs que dans le groupe témoin). Des prélèvements de tissus effectués sur les souris «

sacrifiées » ont montré des cellules nerveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement,

35 % des cellules étaient détruites.

«Aucun membre de mon équipe ne veut se faire vacciner. Ces résultats nous ont donné la

chair de poule », a déclaré Shaw.


Les ARN double brin

E nfin, une autre piste, on ne peut plus scientifique, nous est ouverte par le Prix Nobel de

médecine et physiologie attribué en 2006 à deux chercheurs américains pour leurs travaux sur

les interférences des « ARN double brin » chez certains

parasites (Caenorhabditis elegans). Ces doubles ARN

bloquent certains gènes sur la chaîne d'ADN.

Or, parmi les vaccins antigrippe utilisés en général, la

plupart comportent des doubles ARN, exceptés Agrippal,

Fluvirine, Gripguard, Influvac, MHG. Ce qui fait dire au Dr

Marie-Hélène Groussac, chercheur en biologie moléculaire: «

Le vaccin antigrippe est constitué de fragments d'ARN double

brin, il bloque donc certains gènes. Injecté à des personnes

âgées, dont les gènes des cellules se ralentissent ou

diminuent leur production, il va donc bloquer certains gènes déjà déficients, comme exposé par

le prix Nobel. II en résulte un fonctionnement anormal des cellules, au premier plan desquelles

les neurones ! D'où la floraison actuelle grandissante des cas d'Alzheimer qui grèvent le budget

et la vie des citoyens et qu'on tend à nous faire croire inéluctable et pourvoyeuse d'emplois ! »

Elle ajoute au sujet de ce vaccin actuellement conseillé aux nourrissons : « Faire à gogo du

vaccin antigrippe est aussi grave que le vaccin antihépatite B. Le faire chez le nourrisson comme

c'est programmé (élection présidentielle oblige !) va entraîner, c'est prévisible, des maladies par

arrêt de fonctionnement de certains types cellulaires, mais surtout va retentir sur les neurones,

complétant le programme de dégénérescence de la population entamé par le vaccin antihépatite

B ! »

II est évident que lorsque ces nourrissons atteindront un âge certain, en admettant qu'ils y

arrivent - ce qui est moins certain - l'Alzheimer sera une maladie non seulement courante mais

à peu près générale. Belle perspective !

II existe également un rapport entre la maladie d'Alzheimer et le diabète. Une étude, parue en

2004, a révélé que les diabétiques ont un risque accru de 65 % de développer cette maladie.

Plusieurs chercheurs tendent à présent à penser que le diabète favorise la maladie d'Alzheimer

et un déclin général des fonctions cognitives.

Le diabète est, en effet, souvent associé à l'altération de la mémoire et de la parole, et certains

compléments alimentaires, tels les oméga-3, protègent des deux maladies.

En résumé, si notre président et notre ministère de la Santé veulent arrêter l'épidémie

d'Alzheimer qui menace la population, au lieu de réclamer des résultats à une recherche

impuissante, au grand dam des laboratoires, ils feraient mieux de supprimer les causes de cette

maladie, surtout les produits chimiques et les publicités coûteuses et mensongères pour un

vaccin non seulement inutile mais très dangereux.

 

(Le vaccin antigrippe est

constitué de fragments d’ARN

double brin. Il bloque donc

certains gènes. Injecté à des

personnes âgées, dont les gènes

des cellules se ralentissent ou

diminuent leur production, il va

bloquer certaines gènes déjà

déficients. il en résulte un

fonctionnement anormal des

cellules, au premier plan

desquelles les neurones !)

 

Sylvie SIMON : Auteur de » Autisme et vaccination. Responsable mais non coupable »


 



Encore en savoir plus sur les vices lucratifs liés à la vaccination :

Conférence parlant de la domination mentale exercées par les laboratoires pharmaceutique sur la plupart de nos concitoyens ignorant totalement le sujet de la vaccination.

Peut-être serait-il temps d-y remédier, l'ignorance est sans doute la maladie la

plus dangereuse au monde.






Rebondissement officiel dans l’affaire vaccin-autisme

Le gouvernement américain reconnaît l’existence d’un lien entre autisme et vaccination. Le cas d’espèce soumis aux autorités de santé crée un précédent inédit.

Le 21 juin 2007, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations retenait notre attention sur le procès collectif vaccinal en instance devant la Cour fédérale des Etats-Unis. Depuis lors, la polémique ne s’est pas essoufflée. Bien au contraire, l’Etat fédéral dans un réquisitoire net et précis conclut à un lien de causalité avéré entre vaccinations infantiles et autisme chez une petite fille de 9 ans, Hannah Poling.

Cet aveu sans précédent est une réponse aux allégations d’une seule famille selon lesquelles des vaccins contenant une forme de mercure, le thimerosal, auraient provoqué l’autisme de leur fille.

Il résulte du dispositif du jugement que l’enfant Hannah Poling était en bonne santé et s’était développé normalement jusqu’à ses 18 mois. Qu’à cet âge l’enfant avait fait l’objet d’un examen médical à domicile où lui furent injectées en même temps 9 vaccinations, dont 2 contenaient du thimerosal. Que, 48 heures après, Hannah tomba malade. Que, trois mois plus tard, la jeune fille commençait à régresser et que les signes de l’autisme apparaissaient.

Selon le département de la justice qui représente le gouvernement auprès de la Cour fédérale, « les injections vaccinales ont significativement aggravé un désordre interne et provoqué le syndrome de l’autisme » chez au moins un enfant, Hannah Poling. Devant cet état de fait, le département américain de la santé a déclaré que la famille d’Hannah, au vu du préjudice subi, pouvait prétendre au fonds fédéral d’indemnisation des victimes de vaccinations [The US Division of Vaccine Injury Compensation]. [1]

Faut-il le rappeler qu’à ce jour près de 5 000 familles d’autistes sont en attente de jugement auprès de la Cour de justice fédérale. De toute évidence, d’autres parents ont vécu des événements comparables à ceux d’Hannah Poling ; enfants en bonne santé auxquels on administra des vaccins et qui assez subitement devinrent absents, devenant incapables de s’exprimer tout comme auparavant.

S’il subsiste quelques doutes quant à l’implication du thimerosal comme facteur explicatif déterminant aux nombreux cas d’autisme, il est en revanche très bien établi que l’exposition au mercure provoque des troubles immunitaires, sensoriels, neurologiques, moteurs... toutes similitudes généralement associées à l’autisme. Fautes d’études internationales toutes concordantes, le bon sens ne devrait-il pas alors l’emporter ?

En outre, le mercure est un produit dangereux de la classe 6 qui regroupe, en particulier, les substances pouvant causer une intoxication en cas d’introduction ou d’accumulation spontanée d’un poison dans l’organisme d’après les normes européennes en vigueur régissant le traitement des matières dangereuses [TMD].

Pour le Dr Miller, professeur en cardiologie à l’université de Washington School of Medicine [2], « il est probable qu’un autre facteur important entre en jeu, c’est l’existence d’un effet démultiplicateur de la toxicité. En effet, l’incidence du mercure s’accroît de façon "quasi exponentielle" en présence d’un autre poison. Un essai expérimental a démontré qu’une dose infime de mercure pouvant tuer 1 rat sur 100, et une dose d’aluminium produisant le même effet sur le rongeur, aboutissait à un résultat saisissant quand on les combinait : aucun rat n’en sort indemne. Or, certains vaccins contiennent de l’aluminium. On comprend dès lors mieux la nocivité de certains adjuvants pour l’homme ».

Quelle sera l’implication de ce précédent jurisprudentiel pour le débat vaccin-autisme ? [2]

Avec cet aveu gouvernemental, il sera difficile de maintenir une stratégie officielle qui consistait à nier de manière catégorique tout lien entre vaccination et autisme. Le gouvernement va devoir repenser sa stratégie au procès judiciaire, de la même manière qu’il devra exposer au public de nouveaux motifs justificatifs à une énième campagne vaccinale.

L’autisme a-t-il pour autant décliné depuis que le thimerosal a été retiré de certains vaccins ? [3]

Le thimerosal a été subitement retiré de la préparation de nombre de vaccins après l’an 2000. En 2006 les données statistiques de deux Etats américains montrent que les cas d’autismes ont grimpé simultanément à l’augmentation aux doses de thimerosal « prescrites ».

Cependant un article du Times Magazineaffirme que les cas d’autismes ont continué d’augmenter aux Etats-Unis malgré le retrait du thimerosal des vaccins. Pourquoi cette divergence ?

Une explication sérieusement envisagée provient d’un choix de politique de santé du gouvernement américain. En 2002, les autorités recommandèrent pour toute la population la vaccination anti-grippale pour les enfants de moins de 2 ans, avant d’étendre cette recommandation pour tous les mineurs. Or, en l’état actuel, le vaccin antigrippal contient toujours du thimerosal, tant et si bien qu’une large population d’enfants est toujours exposée à une éventuelle intoxication au mercure.

Quels sont les autres facteurs assez récents susceptibles d’expliquer la hausse rapide d’enfants atteints d’autisme ?

1 enfant sur 150 est atteint d’autisme aux Etats-Unis selon le centre de contrôle et de prévention des maladies [The CDCP]. « Nous devons reconnaître que c’est un fléau national », a déclaré un des représentants Jon Poling. L’affaire est devenue suffisamment préoccupante pour que sénateurs et députés américains expriment leur inquiétude.

Le favori républicain à la présidence, John MacCain, exprima, pendant la campagne des primaires, ses « fortes raisons de craindre que les conservateurs contenus dans les vaccins ont engendré la dramatique ascension de l’autisme à travers le pays ».

De toute évidence, si une faible proportion de malades déclenche un syndrome génétique, dû à une réalité constante, bon nombre d’autismes, aujourd’hui, sont causés par des expositions à des produits toxiques et chimiques (par injection, ingestion, inhalation...), et proviennent globalement de facteurs environnementaux.

Prenons note notamment de l’étude publiée en novembre 2007 dans le Journal of the Australian College of Nutritional § Environnemental Medecine, qui établit que les ondes électromagnétiques de hautes fréquences, tels antennes relais, téléphones portables, WI-FI, seraient l’un des facteurs à même de déclencher l’autisme.

La biochimiste Edith Gallay donne son point de vue sur la vaccination et l'immunité:


La pédiatre Dr Françoise Berthoud parle de la santé des enfants NON vaccinés:


Le biologiste Michel Georget dénonce lui aussi la désinformation, en matière de vaccination contre "le cancer du col" notamment:



Liste de livres exposant le scandale (très loin d'en être la totalité et dont la plupart sont écrit par des médecins..), des centaines de médecins de tous bords crient au Scandale et à l'escroquerie financière, la honte de l'industrie pharamceutique avide d'argent qui empoisonne les populations pour son plus grand profit est exposée au grand jour :

 

 
 Autisme et Vaccination
voir recto  
L’autisme est devenu la nouvelle épidémie du siècle, mais les pouvoirs publics prétendent que son origine est génétique. Comment une maladie génétique peut-elle s’être multipliée par 12 en dix ans dans les pays développés, soit environ un cas sur 150 naissances ?

Cette croissance ne peut, non plus, être due à de mauvais diagnostics dans le passé, comme le prétendent certains, car, dans ce cas, où sont à présent les autistes de plus de vingt ans ?

L’autisme touche sans doute ceux qui ont des prédispositions génétiques, mais pour se développer, la maladie a besoin d’un détonateur, et les vaccins peuvent jouer ce rôle dans l’explosion de la maladie. L’idée d’associer autisme et vaccins demeure encore impopulaire, cependant cette hypothèse gagne du terrain car environ 50 % des parents d’autistes signalent que le comportement de leur enfant a changé tout de suite après la vaccination.

Sylvie Simon a mené une enquête auprès de très nombreux médecins, virologistes et immunologistes internationaux, qui sont certains que de nombreux cas relèvent essentiellement de la vaccination intensive des enfants et que cela va empirer lorsque les centaines de milliers d’enfants deviendront adultes.

Cet ouvrage s’adresse aux parents qui veulent confronter les bienfaits des vaccins à leurs méfaits, notamment l’autisme. Il s’adresse également aux parentsdont les enfants sont déjà autistes en démontrant que l’autisme n’est pas une condamnation sans appel, et qu’il est possible d’améliorer et même de guérir ces enfants.


* « Les vaccins n'ont pas fait reculer les épidémies » (Pr. F. DELARUE)


* "La mafia médicale" (Dr. G. Lanctôt) Ed. Voici la Clé,


* "La dictature médico-scientifique" (Sylvie Simon) Ed. Filipacch,


* "Vaccination, erreur médicale du siècle" (Dr. L. De Brouwer) Ed. Louise Courteau,


*"Danse avec le diable" (G.Schwab) Ed. Courrier du livre,

* « Les charlatans de la médecine » (C.V. D'AUTREC) Ed. La table ronde


* "Dossiers sur le gouvernement mondial" (A.Meurois-Givaudan) Ed. Amrita,


* "La guerre des virus" (L.Horowitz) Ed. Félix,


* "Au coeur du vivant" (J. Bousquet) Ed. St Michel,


* "Le malade déchaîné" (R. Bickel) Ed. ALTESS.


* "Vaccinations : l'Overdose" (Sylvie Simon) Ed. Déjà


* "Tétanos, le mirage de la vaccination" (F. JOET) Ed. Alis


* "Pour en Finir avec Pasteur" Dr.Eric Ancelet (Ed Marco Pietteur)


* "La Santé confisquée" Mirko et Monique Beljanski (Ed Compagnie)


* "La lumière médicale" Dr Norbert Bensaïd (Ed Le Seuil)?


* "Mon enfant et les vaccins" Dr.F. Berthoud (Ed Soleil)


* "On peut tuer ton enfant" (Dr.P. Chavanon) Ed Médicis


* "Les Vérités indésirables- Le cas Pasteur" (archives Internationales Claude Bernard) Ed La Vieille
Taupe 1989


* "L'intoxication vaccinale" (F. Delarue) Ed Le Seuil 1977


* "La rançon des vaccinations (Simone Delarue) Ed LNPLV 6°Ed 1988


* « le procès des vaccinations obligatoires » (Dr.J. KALMAR Me J. EYNARD, Avocat ?Grenoble 1961


* « Pour la liberté, contre l'obligation des vaccinations » Marcel LEMAIRE (Préface de Me F. ?HOFFET,
Avocat Strasbourg) 1961


* "L'intox, quelques vérités sur vos médicaments" (Dr Bruno Donatini) Ed MIF


* "Des lobbies contre la santé" Roger Lenglet (Ed Syros)


*"Des enfants sains même sans médecins" (Dr R.Mendelsohn) Ed Soleil 1987


* "La poliomyélite, quel vaccin quel risque " (Dr Jean Pilette) Ed de l'Aronde 1997


* "La catastrophe des vaccins obligatoires" (Pr. TISSOT) Ed. de l'Ouest 1950


* "Les dessous des vaccinations (Dr. SCOHY) Ed. Cheminements


* "Vaccinations : le droit de choisir" (Dr. F. CHOFFAT) Ed. Jouvence?


* « Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale » (Sylvie SIMON et Dr. Marc VERCOUTERE) Ed. Marco Pietteur


* « La santé publique en otage » (Eric GIACOMETTI) Ed. Albin Michel


* « La médecine retrouvée » (Dr. Jean ELMIGER) (Ed. Léa)


* « La faillite du BCG » Dr. Marcel FERRU


* « Déjà vacciné Comment s'en sortir ? » (Sylvie SIMON)


* « vacciner nos enfants ? » Dr. Françoise BERTHOUD (Ed. Soleil)


* « Vaccinations, les vérités indésirables » (Pr. GEORGET) Ed. DANGLES : Préface du Pr.CORNILLOT, Doyen de la Fac. De Médecine de BOBIGNY. (*)


* « Les vaccinations en question » Me AUTERIVE, Avocat, Paris, G. BUCHWALD, J.CLEMENTS, B. DUNKBAR, K. GAUBLONNE, M. GEORGET, L. HESSEL, K.HOPPENBROUWERS, P. LANNOYE, D. MIEDICO, P. SHATTOK (Ed. Frison-Roche)


* « Vaccination, la grande illusion » (ouvrage sous forme de B.D.) René BICKEL 2003

 

* « Vaccinations, je ne serai plus complice » (Dr. Jean MERIC) Ed. Résurgence 2004.


* « Les vaccins sont des poisons » (Dr. Tal SCHALLER) Ed. Vivez Soleil


* « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins » (Sylvie SIMON) Ed. DANGLES 2005.


* « Vaccins, l'avis d'un avocat : On nous aurait menti » (Jean-Pierre JOSEPH) Ed. Marco Piétteur. 2006


* « VACCINS, l'avis d'un médecin holistique » (Dr. TAL SCHALLER) Ed. Marco Pietteur 2006


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